Mon fétiche secret : porter une cage sous mon costume
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Il y a quelque chose de terriblement excitant à entrer dans une salle de réunion, à serrer la main de clients importants, tout en sachant que… je suis complètement enfermée là-bas. Ouais. Je porte une cage de chasteté sous mon tailleur, et c'est devenu mon petit secret honteux – mon pouvoir personnel.
Laissez-moi vous l’expliquer.
La première fois que je l'ai fait, j'étais super nerveuse. Et si quelqu'un le remarquait ? Et si la cage faisait du bruit ? Et si je bandais pendant une réunion ennuyeuse avec le service financier ? (Spoiler : c'est impossible. C'est tout l'intérêt.) Mais bon sang, l'euphorie que j'éprouvais en le portant sous ce costume bleu marine sur mesure – sentir la cage me serrer fort, sachant que je n'y avais aucun accès – était addictive.
Maintenant, c'est devenu une habitude. Les lundis ? C'est verrouillé. Les rapports trimestriels ? C'est verrouillé. Ce tête-à-tête avec le PDG ? C'est définitivement verrouillé.
C'est discret, à condition de choisir la bonne cage. Optez pour une micro-cage discrète , surtout si votre pantalon de costume est slim. Je privilégie l'acier inoxydable ou le silicone souple selon le jour : l'acier pour ressentir le poids, le silicone pour une longue journée et un peu plus de confort.
Conseil : vérifiez bien votre taille avant de sortir . Évitez les bosses ou les anneaux métalliques qui grincent contre votre cuisse pendant que vous marchez. J'ai déjà vécu ça. J'ai vite appris.
Et n'en faites pas trop si vous n'avez pas l'habitude d'en porter un à long terme. Commencez par quelques heures au bureau avant de vous enchaîner sur un confinement de 9 à 17 heures. Vos couilles vous remercieront.
Mais voilà le vrai frisson : personne ne sait. Je pourrais être en pleine présentation, croisant le regard d'une salle de réunion pleine à craquer, et me retrouver planté là, comme un bon garçon, enfermé, privé de tout, et maître de moi-même en abandonnant le contrôle. C'est le genre de truc qui me fait vibrer.
Alors si vous aimez ce mélange de domination, de déni et de juste ce qu'il faut de danger pour vous sentir vivant dans votre travail de 9 à 17 heures… essayez-le. Verrouillez, enfilez votre combinaison et dirigez le spectacle.
N'oubliez surtout pas vos clés. Sérieusement.